Celui qui ouvre une porte d’école, ferme une prison. (Victor Hugo)
La réciproque semble vraie, si l’on en croit Les Échos.
Parmi les 32 000 postes de fonctionnaires supprimés, 16 000 postes de professeurs. À l’inverse, près de 400 postes de gardiens de prisons devraient être créés.
D’un point de vue comptable, un poste de surveillant pénitencier contre 40 d’enseignants, c’est en tout cas une bonne affaire.
D’autant qu’une prison, ça demande encore moins d’entretien qu’un lycée.
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